--- « Le Cœur de Jésus au cœur de notre année » ---
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Monthly Archives: janvier 2020


Dimanche de la Parole

By admin | 29 janvier 2020 | Category Uncategorized

Jésus parle ! Il enseigne, Il proclame, Il appelle. Il nous adresse la parole et sa parole est divine, Parole de Dieu prononcée dans des mots humains. Et, nous aimons L’entendre ; nous aimons collectionner ses paroles, c’est-à-dire les recueillir, les garder, les vivre.

La parole, le fait que nous parlions, nous caractérise humainement. Mais n’est-elle pas d’abord le propre de Dieu ?

« Au commencement… Dieu dit. » Nous ne pouvons parler que parce que quelqu’un nous a parlé. Dieu parle et Il donne la vie ; « elle est vivante la Parole de Dieu », elle donne la vie.

La parole est créatrice ; ce ne sont pas que des sons, ce ne sont pas d’abord des sons. Parler et faire pour Dieu est identique : sa parole est action.la Parole de Dieu agit, elle nous trace un chemin, son chemin, elle nous ouvre à la vie. Cela doit nous interroger sur la manière avec laquelle nous accueillons la Parole de Dieu. « Vous l’avez accueillie pour ce qu’elle est, dit l’Apôtre, non pas une parole humaine mais la parole de Dieu. » Elle ne perd rien de sa force, sa vie n’est pas épuisée.

La parole est un échange : Dieu s’adresse à nous. Si sa première parole donne la vie, en nous parlant encore Il continue de nous maintenir en vie. La Parole de Dieu est une nourriture ! « Quand je rencontrais tes paroles, je les dévorais. » « Prends et mange ! » dit encore le Seigneur. Il n’est pas anodin que la scène du miracle de la multiplication des pains prenne place alors que Jésus a enseigné longuement ; Il a nourri de sa Parole ceux qu’Il allait ensuite rassasier en multipliant les pains.

Nous sommes invités à nous mettre à la table de la Parole de Dieu.

« A table ! » Attable-toi souvent pour nourrir ton cœur, pour que grandisse ton intelligence de la Parole de Dieu.

Il n’y a pas de parole sans écoute. En fait, si nous pouvons parler, si nous savons parler, c’est d’abord parce que nous avons écouté. La parole nous forme, elle nous encourage, nous éclaire, nous rassure, elle nous transforme. Si Jésus passe beaucoup de temps à enseigner c’est pour nous apprendre ce que nous ne pouvons pas découvrir par nous-mêmes mais aussi pour nous former à son école. Il est l’artisan qui sculpte en nous l’image de Dieu et sa Parole est le pinceau qui dessine en nous cette image.

                Les premiers disciples de Jésus ont fait l’expérience que la Parole de Jésus est efficace, féconde, elle porte du fruit. Les pêcheurs sur le bord du lac ne traînent pas devant l’appel de Jésus : ils laissent tout dès que Jésus les appelle. C’est en nous aujourd’hui que la Parole de Dieu doit produire le même effet.

                De la Table de la Parole nous passerons à la Table de l’Eucharistie, à l’autel du Seigneur où nos cœurs réchauffés par sa parole seront Le reconnaître dans la fraction du pain où Il se fait nourriture.

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Communiqué de la Conférence des évêques sur la révision des lois bioéthiques

By admin | 15 janvier 2020 | Category Uncategorized

Le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France, réuni les 6, 7 et 8 janvier 2020, tient à exprimer son inquiétude devant le projet de révision des lois de bioéthique dont la discussion au Sénat se prépare.

Dans l’état actuel du projet de loi, trois points particuliers engageraient encore davantage notre société française dans des contradictions insolubles. S’ils étaient adoptés définitivement, ils témoigneraient d’une grave méprise quant à ce qu’est l’éthique, méprise qui, si elle n’était pas clarifiée, serait de l’ordre de l’insouciance pour l’avenir.

  1. Soumettre, comme le veut la loi, l’engendrement par PMA d’un nouvel être humain à un « projet parental » est discutable. Le pouvoir ainsi reconnu aux parents ne risque-t-il pas de devenir absolu ? Comment le projet de loi va-t-il exprimer la pleine reconnaissance du droit de l’enfant qui est une « personne » ? En effet, établir des critères applicables aux adultes qui veulent devenir parents pour autoriser ou non ceux-ci à bénéficier d’une technique d’AMP ne suffira pas à garantir une prise en compte suffisante de la dignité de l’enfant. Le respect de l’enfant devrait être la considération première.

  2. La légalisation de la filiation sans père ni ascendance paternelle et de la maternité par simple déclaration de volonté, devant le notaire, sans que la femme vive la gestation, met en œuvre « l’invraisemblable », ont pu dire certains. Est-il juste d’entraîner la société dans cet engrenage ? Notre République est basée sur le respect de la conscience. Cela ne commande-t-il pas de prévoir le recours à la l’objection de conscience pour ceux et celles, les notaires par exemple, qui se refuseraient, en conscience, à être engagés malgré eux dans la réalisation de cet « invraisemblable » ? Cette clause de conscience s’impose aussi à propos de l’IMG. Sans une telle expression dans la loi du respect de la conscience de chacun, n’irions-nous pas vers la mise en place d’une police de la pensée, contraire à notre liberté démocratique ?

  3. L’extension du diagnostic pré-implantatoire ouvre la voie à une sélection accrue des enfants à naître, sélection que notre pays professe pourtant de refuser en souhaitant une société inclusive. Un « eugénisme libéral », dépendant de la décision des parents potentiels ou du parent potentiel, serait ainsi toléré. Des parents ayant un enfant portant une maladie génétique nous alertent publiquement sur la « déshumanisation » que produirait un tel tri sélectif. Vouloir l’enfant sans aucun variant génétique est non seulement une illusion, mais ce serait aussi « déshumaniser » notre humanité !

Ces trois points sont significatifs de la fuite en avant dans laquelle sont prises nos sociétés occidentales soumises au libéralisme et aux lois du marché : les désirs individuels y sont exacerbés par l’apparente satisfaction que la conjonction des techniques médicales et juridiques semble promettre.

Nous remercions toutes celles et tous ceux qui prennent au sérieux les enjeux de la loi en discussion. Nous saluons les parlementaires qui travaillent à mettre de la lucidité et du bon sens éthique à propos de l’humain dans le texte de la loi. Nous encourageons les citoyens inquiets à faire connaître leurs réserves et à exprimer leurs points de vue. Nous redisons que tout enfant humain est appelé à grandir dans le déploiement de sa liberté et dans le respect de sa dignité, en communion avec tous les autres, et cela tout au long de sa vie, quelle que soit son origine ethnique ou sociale, sa religion ou son absence de religion et son orientation sexuelle. Aucun être humain ne peut en traiter un autre comme un objet.

Le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France

Le 13 janvier 2020

Mgr Éric de Moulins-Beaufort, archevêque de Reims, Président de la CEF,

Mgr Dominique Blanchet, évêque de Belfort-Montbéliard, vice-président de la CEF,

Mgr Olivier Leborgne, évêque d’Amiens, vice-président de la CEF,

Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris,

Mgr Jean-Pierre Batut, évêque de Blois,

Mgr Jean-Marc Eychenne, évêque de Pamiers,

Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen,

Mgr Philippe Mousset, évêque de Périgueux,

Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre,

Mgr Pascal Wintzer, archevêque de Poitiers

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Christ ! Gloire à Toi !

By admin | 8 janvier 2020 | Category Uncategorized

Il y a quelques années lors d’une manifestation une religieuse a traversé le cortège et un manifestant en a profité pour lui coller sur son habit (sans qu’elle s’en aperçoive !) un autocollant rouge et blanc, sur lequel était écrit CGT. Elle a traversé Paris, accomplit sa mission, fait de la publicité malgré elle, et est rentrée dans son couvent où ces sœurs et elles ont bien rit de cette espièglerie. Car un disciple de Jésus peut toujours tirer partie (du bon parti de Jésus !) des circonstances de la vie. En effet, elles ont découvert que CGT avait un tout autre sens que ce que nous penserions spontanément et l’ont transformé en Christ Gloire à Toi ! C’est ce que les mages viennent faire aujourd’hui, et nous avec eux : rendre toute gloire à Dieu, rendre gloire à Dieu qui est venu habiter chez les hommes, Christ Gloire à Toi qui n’est jamais loin des hommes qui te cherchent, qui ont le désir de Te rencontrer. Nous demandons ainsi au Seigneur de nous donner les mêmes dispositions intérieures et extérieures que ces hommes ont eu à l’égard de Jésus.

Ces hommes venus de loin sont des savants, ils savent lire, étudier, et à l’époque il n’y avait pas tant de livres que cela. Ils ont eu connaissance du peuple juif, de son attente du Messie et ils ont vu se lever son étoile (l’astronomie nous dit qu’il y a eu effectivement à cette époque une conjonction de planètes dont Jupiter et Saturne, l’astre du peuple juif pour les astronomes perses). Dans leur cœur habite aussi le désir de la vérité, le désir que Dieu a mis dans le cœur de l’homme, de chaque homme.

« Seigneur, donne nous le désir de te rencontrer, de venir à ta rencontre durant toute cette année ».

Les mages ne sont pas surpris de se retrouver devant la mangeoire, dans un lieu si pauvre, devant l’Enfant Roi. Ils sont pleins de joie. Toute rencontre avec Dieu est joyeuse ; le chemin qui conduit à Jésus est rempli de joie. Ne soyons pas surpris si Dieu ne se présente pas à nous conformément à nos idées, s’Il est si discret, s’Il ne s’impose pas avec force, s’il se fait si petit jusqu’à se cacher dans un morceau de pain. Les mages voient l’Enfant et reconnaissent le roi devant lequel ils font la prosternation due à sa dignité.

La naissance du Messie sauveur a été ignorée par la plupart des habitants de Bethléem, les mages ont eu la joie de se prosterner devant Lui et de L’adorer. Nous devons être vigilants, savoir regarder le cœur ouvert, parce que le seigneur se manifeste aussi à nous dans la vie ordinaire : Christ Gloire à Toi ! Celui qui vit en présence de Dieu sort du train train quotidien, de l’apparente monotonie de ses tâches qui se répètent  et rencontre Jésus dans la vie courante. Demandons à Jésus de savoir Le reconnaître, de savoir entendre son appel à Le rencontrer et à Le servir en chacun de nos frères et sœurs, et particulièrement dans les actions les plus anodines en apparence.

A l’attitude des mages s’oppose celle d’Hérode… livré à l’arbitraire de son orgueil, de ses peurs, de sa recherche du pouvoir. Hérode si imbu de sa position fera mourir ses trois fils Alexandre, Aristobule et Antipater. Protège-nous Seigneur de l’arbitraire, de la suffisance…

Ils L’adorèrent. Les mages rendent à Jésus non seulement l’honneur qui Lui est dû mais aussi l’adoration qui convient à Dieu. C’est le culte que l’on doit à Jésus dans la Sainte Eucharistie. Jésus présent dans le tabernacle, Jésus présent sur l’autel au moment de la consécration est le même qu’ils ont vu et adoré dans les bras de Marie. Nous devons examiner comment nous l’adorons, comment nous le saluons en entrant dans l’église, avec quelle dévotion et respect nous nous agenouillons dans la sainte messe.

Abbé Pierre PEYRET

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Le salut est venu par la femme

By admin | 3 janvier 2020 | Category Uncategorized

Homélie du pape François

« Lorsqu’est venue la plénitude des temps, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme » (Gal 4,4). Né d’une femme : c’est ainsi que Jésus est venu. Il n’est pas venu dans le monde déjà adulte, mais comme nous l’a dit l’Evangile, il a été « conçu dans le sein » (Lc 2,21): c’est là qu’il a fait sienne notre humanité, jour après jour, mois après mois. Dans le sein d’une femme, Dieu et l’humanité se sont unis pour ne jamais plus se séparer : maintenant aussi, dans le ciel, Jésus vit dans la chair qu’il a prise dans le sein de sa mère. En Dieu, il y a notre chair humaine!

En ce premier jour de l’année, nous célébrons ces noces entre Dieu et l’homme, inaugurées dans le sein d’une femme. En Dieu, il y aura pour toujours notre humanité et pour toujours Marie sera la Mère de Dieu. Elle est femme et mère, c’est ce qui est essentiel. Par elle, une femme, le salut est venu et donc il n’y a pas de salut sans la femme. C’est là que Dieu s’est uni à nous, et si nous voulons nous unir à lui, il faut passer par le même chemin : par Marie, femme et mère. C’est pourquoi nous commençons l’année sous le signe de Notre-Dame, la femme qui a tissé l’humanité de Dieu. Si nous voulons tisser d’humanité les trames de nos jours, nous devons repartir de la femme.

Né d’une femme. La renaissance de l’humanité a commencé à partir de la femme. Les femmes sont sources de vie. Cependant elles sont continuellement offensées, battues, violentées, poussées à se prostituer et à supprimer la vie qu’elle portent dans leur sein. Toute violence faite à la femme est une profanation de Dieu, né d’une femme. Par le corps d’une femme, le salut est parvenu à l’humanité : de la façon dont nous traitons le corps de la femme, nous comprenons notre niveau d’humanité. Combien de fois le corps de la femme a été sacrifié sur les autels profanes de la publicité, du gain, de la pornographie, exploité comme une surface à utiliser. Il doit être libéré du consumérisme, il doit être respecté et honoré ; c’est la chair la plus noble du monde, elle a conçu et a mis au monde l’Amour qui nous a sauvé! Aujourd’hui encore, la maternité est humiliée, parce que l’unique croissance qui importe est la croissance économique. Il y a des mères qui prennent le risque de voyages dangereux, cherchant désespérément à donner au fruit de leur sein un avenir meilleur et sont jugées en surnombre par des personnes qui ont le ventre plein, mais de choses, et le coeur vide d’amour.

Né d’une femme. Selon le récit de la Bible, la femme arrive au sommet de la création, comme le résumé de tout le créé. Elle renferme en elle, en effet, la finalité du créé lui-même : la génération et la protection de la vie, la communion avec tout, le soin de tout. C’est ce que fait la Vierge Marie dans l’Evangile aujourd’hui. « Marie – dit le texte – retenait tous ces événements et les méditait dans son cœur » (v. 19). Elle conservait tout : la joie pour la naissance de Jésus et la tristesse pour l’hospitalité refusée à Bethlehem ; l’amour de Joseph et l’étonnement des bergers ; les promesses et les incertitudes pour l’avenir. Elle prenait tout à cœur et mettait tout en place dans son cœur, même les adversités. Parce qu’elle ordonnait dans son cœur toute chose avec amour et confiait tout à Dieu.

Dans l’Evangile, cette action de Marie revient une seconde fois : à la fin de la vie cachée de Jésus, il est dit en effet que « sa mère gardait dans son cœur tous ces événements » (v. 51). Cette répétition nous fait comprendre que, conserver dans le cœur, n’est pas un beau geste que la Vierge Marie faisait quelquefois, mais c’était son habitude. C’est propre à la femme, de prendre à cœur la vie. La femme montre que le sens de la vie, ne consiste pas à continuer de produire des choses, mais de prendre à cœur les choses qui existent. Seul celui qui regarde avec le cœur voit bien, parce qu’il sait “regarder à l’intérieur” : la personne au delà de ses erreurs, le frère au delà de ses fragilités, l’espérance dans les difficultés; voir Dieu en tout.

Au moment où nous commençons la nouvelle année demandons-nous : “Est-ce que je sais regarder avec le cœur ? Est-ce que je sais regarder les personnes avec le cœur ? Est-ce que les gens avec qui je vis me tiennent à cœur, ou bien est-ce que je les détruis par les commérages ? Et surtout, ai-je le Seigneur au centre du cœur, ou bien d’autres valeurs, d’autres intérêts, ma promotion, les richesses, le pouvoir ?”. Si seulement la vie nous tient à cœur, nous saurons en prendre soin et dépasser l’indifférence qui nous enveloppe. Demandons cette grâce : de vivre l’année avec le désir de prendre à cœur les autres, de prendre soin des autres. Et si nous voulons un monde meilleur, qui soit une maison de paix et non une cour de guerre, il faut avoir à cœur la dignité de toute femme. De la femme est né le Prince de la paix. La femme est donneuse et médiatrice de paix et doit être pleinement associée aux processus décisionnels. Car, quand les femmes peuvent transmettre leurs dons, le monde se retrouve plus uni et plus en paix. Pour cela, une conquête pour la femme est une conquête pour l’humanité entière.

Né d’une femme. Jésus, qui vient de naître, s’est miré dans les yeux d’une femme, dans le visage de sa mère. Il a reçu d’elle les premières caresses, il a échangé avec elle les premiers sourires. Avec elle, il a inauguré la révolution de la tendresse. L’Eglise, en regardant l’enfant Jésus, est appelée à la continuer. Parce qu’elle aussi, tout comme Marie, est femme et mère, l’Eglise est femme et mère, et, dans la Vierge Marie, elle retrouve ses traits distinctifs. Elle la voit, immaculée, et se sent appelée à dire “non” au péché et à la mondanité. Elle la voit, féconde, et se sent appelée à annoncer le Seigneur, à l’engendrer dans les vies. Elle la voit, mère, et se sent appelée à accueillir tout homme comme son enfant.

En s’approchant de Marie, l’Eglise se retrouve, elle retrouve son centre, elle retrouve son unité. L’ennemi de la nature humaine, le diable, cherche au contraire à la diviser, en mettant au premier plan, les différences, les idéologies, les pensées partisanes et les partis. Mais nous ne comprenons pas l’Eglise si nous la regardons à partir des structures, à partir des programmes et des tendances, des idéologies, des fonctionnalités : nous comprendrons quelque chose, mais pas le cœur de l’Eglise. Parce que l’Eglise a un cœur de mère. Et nous ses enfants, invoquons aujourd’hui la Mère de Dieu qui nous réunit comme un peuple croyant. O Mère, engendre en nous l’espérance, apporte nous l’unité. Femme du salut, nous te confions cette année, conserve-la dans ton cœur. Nous t’acclamons : Sainte Mère de Dieu. Tous ensemble, trois fois, nous acclamons Notre Dame, debout, la Vierge Sainte Mère de Dieu : Sainte Mère de Dieu! Sainte Mère de Dieu! Sainte Mère de Dieu!

Copyright 2020 – Librairie éditrice du Vatican

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